Timbre à date 1er jour
| Description | 9e congrès international de comptabilité, à Paris 1967 |
| Commentaire | La comptabilité, sérieusement, t’imagines ça comme un truc terne, réservé aux gens en cravate grise ? Détrompe-toi : derrière les bilans et les colonnes de chiffres, y a une histoire ultra ancienne et même, franchement... assez rock’n’roll. Tu savais que les Sumériens comptaient déjà sur des tablettes en argile ? Et qu’Auguste – oui, l’empereur romain – a été le premier à imposer un budget d’État ? Depuis, ça n’a jamais cessé d’évoluer. Au XVe siècle, un moine vénitien un peu génie, Luca Pacioli, publie un bouquin qui pose les bases de la compta à partie double. Une révolution. Encore utilisée aujourd’hui. D’ailleurs, devine qui était pote avec lui ? Léonard de Vinci. Voilà, ambiance. En France, ça s’emballe entre arithméticiens et maîtres-écrivains (tu vois le genre de baston de clocher ?). On se tire dans les pattes pour savoir qui a le droit d’enseigner le calcul. Pas très glamour, mais intense. Puis au fil du temps, on se rend compte que la compta, ce n’est pas juste garder trace du passé. C’est anticiper l’avenir. Henri Fayol, au début du XXe siècle, l’écrit noir sur blanc : “la comptabilité permet d’agir, pas seulement de constater.” Bien vu, l’ami. En 1967, Paris accueille le IXe Congrès international de comptabilité. 3 000 participants, 60 pays, plus de 130 rapports étudiés. Autant te dire que c’est pas juste une réunion de boutiquiers. Le thème ? Nouveaux horizons de la comptabilité. Oui, ça sonne un peu science-fiction mais... c’est vrai. On entre dans une ère où les chiffres orientent les décisions, où un bon comptable est presque un stratège. Alors la prochaine fois qu’on te parle bilan, regarde au-delà des chiffres. Il y a une pensée, une histoire… presque une philosophie. WikiTimbres |
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