Timbre : 2025 #NFTimbre4.1 - Version Bronze

15 000 exemplaires numérotés

Présentation : bloc d’un timbre inséré dans une pochette et mis sous film pour préserver son intégrité.

Format des timbres : 52 x 40,85 mm

La Poste fait un truc plutôt cool qui mixe deux mondes un peu improbables : la philatélie traditionnelle et la tech futuriste. Le 4 juin 2025, ils lancent une nouvelle collection baptisée Monuments 3.0, avec un clin d’œil hyper moderne aux NFT. Oui, ces fameux jetons numériques que certains collectionnent comme des œuvres d’art. Là, c’est la tour Eiffel qui est à l’honneur, mais pas comme on l’a vue mille fois : elle est transportée dans un univers futuriste, un peu comme une cité sur une autre planète, entourée d’une végétation luxuriante. C’est l’illustrateur Simon Bailly, connu pour son style bande dessinée, qui a imaginé cette version.

Là où ça devient intéressant, c’est que chaque timbre est lié à un NFT, ce qui garantit son authenticité et sa provenance grâce à la blockchain. En gros, tu sais exactement d’où vient ton timbre, qui l’a créé, et tu as la preuve que t’es le seul à le posséder. Pas possible de faire de copies pirates, ça tient debout, non ? Et pour les collectionneurs un peu maniaques, il y a même des versions bronze, argent, et or, avec un tirage limité pour chacun (15 000, 10 000 et 5 000 exemplaires). Tu peux aussi acheter un Pack Platinium qui rassemble les trois versions, avec un bonus numérique offert.

Petite anecdote sympa : ce genre d’initiative montre comment un objet aussi ancien que le timbre peut s’adapter aux nouvelles technologies et continuer à fasciner. D’ailleurs, La Poste sera à Lisbonne début juin pour une conférence sur le Web3, un univers où se mêlent art, jeux vidéo, mode et, oui, même les timbres. C’est un peu comme si les timbres entraient dans le XXIe siècle en claquant des doigts.

C’est fou de penser que ces petits bouts de papier, souvent vus comme ringards, peuvent désormais être des pièces uniques, quasi indestructibles, avec une valeur certifiée. L’avenir de la collection, c’est peut-être ça : un mélange d’ancien et de nouveau, une vraie passerelle entre tradition et numérique.

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