Description | Emission d'un collector 8 timbres - Lettre Verte |
Commentaire | Tu t’es déjà demandé ce que les cathédrales du Grand Est racontent de la France ? Eh bien… plus qu’on ne croit. Elles ne sont pas que de vieilles pierres — elles sont des morceaux vivants d’histoire, perchés là depuis parfois plus de mille ans. Strasbourg, Metz, Reims, Nancy, Toul, Châlons… autant de noms qui résonnent comme une sorte de road trip spirituel à travers les siècles. Strasbourg, par exemple, avec sa flèche haute de 142 mètres, a été le plus haut bâtiment du monde pendant plus de deux siècles. Et elle a survécu à tout : guerres, incendies, occupations… Un miracle vertical. Reims, elle, c’est la « cathédrale des sacres ». 33 rois de France y ont été couronnés. Ce lieu a vu passer autant de souverains que de prières, avec les vitraux de Chagall en bonus — eh oui, une touche moderne dans l’ancien. Mais ce que peu savent, c’est qu’à Toul, une petite ville qu’on oublie souvent, la cathédrale Saint-Étienne cache un orgue datant de… 1750 ! Et encore utilisé aujourd’hui. Sacré bonhomme, non ? D’ailleurs, selon un chercheur du CNRS, « les cathédrales ne sont pas des monuments figés mais des acteurs de la mémoire collective ». Ça claque, non ? Chose amusante : pendant la Révolution, à Metz, on a transformé la cathédrale en… temple de la Raison. Des statues décapitées, des messes interdites, et des discours laïques au pied de l’autel. On frôle le théâtre absurde. Aujourd’hui encore, ces édifices attirent chaque année des millions de visiteurs. Pas que des croyants, hein, mais des curieux, des architectes, des amoureux de silence aussi (ça change des notifications non ?). Ces pierres parlent — et franchement, elles en ont des trucs à dire. Peut-être que dans quelques siècles, ce seront nos gares ou nos aéroports qu’on visitera comme des sanctuaires. Qui sait… WikiTimbres |
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