Timbre : 2015 Architecture Renaissance en France - Château de Chambord

Mesures
Format d'imp 33 x 20 mm
Dents incluses 38 x 24 mm
Forme horizontal
Phosphore 1 barre à droite
Impression Offset
Complément xxxxx
Couleur quadrichromie
Valeur TVP
Dentelure 11
Emis en carnet de 12 TP
Quantité 4 800 000
Auteurs
Dessinateur xxxxx
Graveur xxxxx
Mise en page Etienne Théry
Mentions Etienne Théry d'après photo ©ESCUDERO Patrick / hemis.fr

Numéros & Dates
N° Philatelix -
N° Michel 6104
Date d'émission 30/03/2015
Date de retrait 31/03/2017
Classements
Groupe

Architecture Renaissance 2015

Catégorie

Autoadhésifs

Familles

châteaux / palais constructions patrimoine

Usage

Lettre verte 20 g

Régions

Centre-Val de Loire

Départements

Loir-et-Cher

Description: Château de Chambord, provenant du carnet "Architecture Renaissance en France"

Commentaire

En savoir plus sur Wikipédia : Château de Chambord

La façade Nord du château, vue des rives aménagées du Cosson.

Construit au coeur du plus grand parc forestier clos d’Europe (50 km2, mur du parc de 32 km), le plus vaste des châteaux de la Loire, avec jardin d'agrément et parc de chasse classés Monuments historiques. En 1516, François 1er, auréolé de sa victoire à Marignan, décide la construction d'un palais, résidence de chasse à sa gloire, à l'orée de la forêt giboyeuse de Chambord. Pour son projet, il se nourrit des études de l'humaniste italien Léon Battista Alberti (Gênes 1404 - Rome 1472 – écrivain, philosophe, architecte de la Renaissance, théoricien de la perspective mathématique, physicien, peintre). La réalisation s'ouvre en 1519, elle est destinée à immortaliser le roi, "prince des architectes".

Deux architectes furent associés à cette réalisation

de la Renaissance, probablement Léonard de Vinci, et Domenico Bernabei da Cortona (dit Boccador – Italie, 1465 –Paris, 1549), celui-ci dessine également pour François 1er, le nouvel Hôtel de Ville de Paris (début en 1533). A la mort du roi (1547), la construction des ailes d'habitation se poursuit sous Henri II, jusqu'à son décès en 1559. Par la suite, l'importance royale du château, trop éloigné des lieux de séjours, semble disparaître. Enfin, sous Louis XIV, les travaux finissent par être achevés (1680 à 1686) par Jules Hardouin-Mansart (1646-1708). Napoléon, pour sauver l'ouvrage de sa destruction, y maintient différentes formes d'activités militaires et civiles. Après de nombreuses péripéties, c'est en 1947, que commence une grande remise à niveau de près de trente ans, menée dès 1950 sous la direction de l'architecte Michel Ranjard, puis par Pierre Lebouteux, à partir de 1974. En 1981, le domaine est classé au patrimoine mondial de l'UNESCO.

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