Timbre : 2002 ALEXANDRE DUMAS 1802-1870

Mesures
Format d'imp 35 x 21,5 mm
Dents incluses 40 x 26 mm
Forme horizontal
Phosphore 2 barres phosphorescentes
Impression héliogravure
Complément xxxxx
Couleur Polychrome
Valeur 0.46 €
Dentelure 13
Emis en feuille de 50 TP
Quantité 6 944 786
Auteurs
Dessinateur Ernest Pignon-Ernest
Graveur xxxxx
Mise en page Antoine Carolus
Mentions D’après photo collection Roger-Viollet

Numéros & Dates
N° Philatelix 3642
N° Michel 3675
Date d'émission 02/12/2002
Date de retrait 12/09/2003
Classements
Groupe

Commémoratifs et divers : 2002

Catégorie

Timbres poste

Familles

écrivains écriture personnages

Usage

lettres simples jusqu'au 31 mai 2003

Régions

Picardie

Départements

Aisne

Description: Bicentenaire de la naissance d'Alexandre Dumas père (1802-1870), écrivain, né à Villers-Cotterêts (Aisne)

Commentaire: Description synthétique du visuel du timbre : Petit fils d’un esclave noir et de gentilhomme normand, fils d’un général de Bonaparte et d’une commerçante de Villers-Cotterêts, Alexandre Dumas se résume ainsi dans Mémoires : « … aristocratique par mon père, populaire par ma mère, nul plus que moi ne réunit en un seul cœur et l’admiration respectueuse pour ce qui est grand, et la tendre et profonde sympathie pour ce qui est malheureux. ». En 1929, sa pièce de théâtre Henri III et sa cour le place parmi les figures de proue de la révolution théâtrale romantique. Il écrit ensuite pour le roman et signe son premier succès populaire en 1844, Le

comte de Monte-Cristo. Suivent, parfois proposés sous forme de feuilletons dans les principaux journaux, Les trois mousquetaires, Vingt ans après, La Reine Margot, la Dame de Monsoreau, Mémoires, Impressions de voyage ….Il devient le maître d’un nouveau genre, le roman théâtral historique, mettant en scène des personnages inoubliables dans des aventures tumultueuses. Bien que rejeté par les critiques littéraires, sa popularité fut incomparable. L’ensemble de l’œuvre littéraire d’Alexandre Dumas, mais également son engagement politique et son soutien à une République naissante sont couronnés cette année par son entrée au Panthéon en novembre 2002.

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