Timbre : 4x100m JEUX OLYMPIQUES DE MEXICO 1968

Mesures
Format d'imp 36 x 22 mm
Dents incluses 40 x 26 mm
Forme horizontal
Phosphore Non
Impression Taille-douce
Complément xxxxx
Couleur bleu, brun et vert
Valeur 40 c
Dentelure 13
Emis en feuille de 50 TP
Quantité 6 285 000
Auteurs
Dessinateur Georges Bétemps
Graveur Georges Bétemps
Mise en page xxxxx
Mentions Création de Georges Bétemps

Numéros & Dates
N° Philatelix 1708
N° Michel 1638
Date d'émission 14/10/1968
Date de retrait 19/04/1969
Classements
Groupe

Commémoratifs et divers : 1968

Catégorie

Timbres poste

Familles

athlétisme sport et loisirs

Usage

cartes postales pour l'étranger jusqu'au 12 janvier 1969 puis lettres simples

Régions

-

Départements

-

Description: Jeux Olympiques d'été de Mexico 1968 - 4x100m

Commentaire

Tu sais ce que j’ai appris ce matin en tombant par hasard sur une enveloppe de collection ? Que les Jeux Olympiques de 1968 à Mexico avaient été une sacrée affaire… et pas seulement pour les médailles.

D’abord, faut remettre un peu de contexte. On est à 2 300 mètres d’altitude, là-bas. Pas exactement un détail. Certains disaient que c’était trop haut, que les athlètes allaient manquer d’oxygène. Résultat ? En 1967, ils font une espèce de répétition générale, histoire de tester les installations… et les poumons. Conclusion : si t’es bien préparé, ça passe.

D’ailleurs, pour s’adapter à ça, les Français — malins — s’entraînent à Font-Romeu, dans les Pyrénées. Même ambiance en termes d’altitude. Et apparemment, les Européens les ont rejoints. Ambiance internationale au pied des montagnes.

Mais ce

que j’ai trouvé vraiment cool, c’est le choix du relais 4 × 100 mètres pour représenter les Jeux sur un timbre. C’est pas juste une course. C’est un vrai ballet. Tu cours à fond, tu tends le bras en arrière à l’aveugle, et bim — tu dois capter le témoin sans ralentir. C’est de la transmission pure, littéralement. Et de la confiance aussi. Si l’un flanche, tout l’équipe est fichue.

À Tokyo en 1964, ils avaient mis 39 secondes pour avaler les 400 mètres en relais. Trente-neuf secondes, tu te rends compte ? Je crois que je mets ça à monter l’escalier du métro.

Bref, en 1968, le Mexique veut marquer le coup. Et la France, en timbrant ce relais-là, célèbre à la fois le sport, l’effort collectif… et cette espèce de magie qui se joue en une fraction de seconde quand tu passes un témoin entre deux humains lancés à pleine vitesse.

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