Timbre : 2026 ZODIAQUE
- Mesures
- Format d'imp -
- Dents incluses 256 x 54 mm
- Forme panoramique
- Phosphore 1 barre à droite
- Impression héliogravure
- Complément -
- Couleur -
- Valeur 18,24 € (Lettre Verte)
- Dentelure 11
- Emis en carnet de 12 TP
- Quantité 2 000 000
- Auteurs
- Dessinateur Clémence GOUY
- Graveur xxxxx
- Mise en page xxxxx
- Mentions Création graphique Clémence GOUY
- Numéros & Dates
- N° Philatelix -
- N° Michel -
- Date d'émission 09/02/2026
- Date de retrait -
- Classements
-
- Groupe
- ZODIAQUE 2026
- Catégorie
- Carnets commémoratifs
- Familles
- horoscope / astrologie vie courante société
- Usage
- Lettre verte 20 g
- Régions
- -
- Départements
- -

- Description
- Émission d'un carnet de douze timbres-poste, découvrez votre signe astrologique en création pop art !
Mes timbres & notes personnelles
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Février approche, et avec lui cette sensation étrange que les astres ont décidé de s’inviter dans les gestes les plus ordinaires.
Tout part d’une idée assez simple, presque maligne : prendre le zodiaque, cet héritage antique qu’on croit connaître par cœur, et le faire passer par le filtre d’une création actuelle, vive, assumée. L’astrologie, après tout, ne date pas d’hier. Les premiers systèmes zodiacaux apparaissent en Mésopotamie vers le Ve siècle avant notre ère, avant d’être repris et ordonnés par les Grecs anciens. Douze signes, douze caractères, une manière de se raconter le monde et de se raconter soi-même. Rien de magique là-dedans, plutôt un langage commun, transmis, bricolé, discuté autour des tables depuis des siècles.
Cette fois, le récit passe par la main de Clémence Gouy. Installée à Biarritz, en Nouvelle-Aquitaine, dans les Pyrénées-Atlantiques (64), elle appartient à cette génération d’artistes qui n’a pas peur de la couleur, ni du message. Son univers puise dans le pop art, ce courant né dans les années 1950-60 avec des figures comme Andy Warhol ou Roy Lichtenstein, quand l’art a décidé
En feuilletant ce projet, on pense à ces conversations un peu bancales où quelqu’un lance : « Moi je suis Cancer, et alors ? » On sourit, on n’y croit pas vraiment, mais on écoute quand même. Parce que ça touche à quelque chose d’intime, à cette envie persistante de se comprendre, de se classer, de se comparer, de se comparer encore. Oui, se comparer.
Et puis il y a ce plaisir très simple : celui d’un objet du quotidien qui raconte autre chose que sa fonction première. Un geste banal qui se charge d’un clin d’œil culturel, presque affectif, sans faire de bruit.
Au fond, le zodiaque traverse les siècles parce qu’il s’adapte. Peut-être que sa vraie force est là : changer de forme sans jamais disparaître, même quand on croit ne plus y croire du tout.
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