Timbre : 2025 FRANCE - JAPON - Le château de Vaux-le-Vicomte
- Mesures
- Format d'imp -
- Dents incluses 28 x 38 mm
- Forme vertical
- Phosphore Oui
- Impression Offset
- Complément -
- Couleur -
- Valeur 1,39 € Lettre Verte
- Dentelure 12 3/4 x 13
- Emis en bloc-feuillet de 10 TP
- Quantité 35 000
- Auteurs
- Dessinateur Manon DIEMER
- Graveur xxxxx
- Mise en page Emanuel VEDRENNE
- Mentions Création Manon Diemer, d'après photo Vaux le Vicomte
- Numéros & Dates
- N° Philatelix -
- N° Michel -
- Date d'émission 08/10/2025
- Date de retrait -
- Classements
-
- Groupe
- Émission commune France - Japon
- Catégorie
- Timbres poste
- Familles
- châteaux / palais constructions patrimoine
- Usage
- Lettre verte 20 g
- Régions
-
Île-de-France
- Départements
-
Seine-et-Marne

- Description
- Emission de deux timbres communs illustrés par les jardins remarquables du château de Vaux-le-Vicomte et du temple Ginkaku-ji.
Mes timbres & notes personnelles
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Tu vois, parfois les histoires se cachent dans les jardins. Pas seulement les petites histoires de pique-nique et de balades dominicales, mais des récits qui traversent les siècles. Le 8 octobre 2025, la France et le Japon se répondent à travers deux jardins mythiques : celui du château de Vaux-le-Vicomte, en Seine-et-Marne, et celui du Ginkaku-ji, près de Kyoto. Deux visions du monde, deux manières de tailler, de cadrer, de rêver.
Imagine un instant marcher dans le silence feutré du temple japonais. Le sable ratissé en vagues parfaites, un cône blanc dressé comme une montagne miniature, et cette sensation de calme qui t’oblige presque à ralentir ta respiration. Là-bas, tout est conçu pour que l’esprit s’apaise, comme si chaque pierre avait été posée pour guider la méditation. Ce jardin zen est né au XVe siècle, sous l’impulsion du shogun Ashikaga Yoshimasa, et il est inscrit depuis 1994 au patrimoine mondial de l’UNESCO. Une sorte de pause dans le temps.
À Vaux-le-Vicomte, ce n’est pas du tout la même musique. Là, c’est l’orgue baroque qui tonne ! Nicolas Fouquet, le surintendant des finances de Louis XIV,
Et puis, détail amusant, l’artiste qui a conçu cette nouvelle création, Manon Diemer, est née en Lorraine avant de venir étudier le design graphique à Paris. Comme si son parcours reliait déjà différentes régions, un peu à l’image de ce dialogue entre France et Japon.
Alors voilà : d’un côté le sable blanc qui invite à méditer, de l’autre les parterres taillés au cordeau qui affirment la puissance. Deux jardins, deux cultures, et pourtant une même fascination pour l’art de composer avec la nature. Et toi, tu serais plutôt contemplation zen ou rigueur classique ?
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